Présenté lors de la semaine de la critique à Cannes (puis à la cinémathèque francaise a Paris), Belle Epine est le 1er film de Rebecca Zlotowski avec entre autres Léa Seydoux dans le rôle principal.
Décris partout comme un film sur l univers des derby illégal des années 80, ce long métrage est avant tout un drame familliale, celui du déclin de la jeune Prudence après le décès de sa mère et l’éloignement de son père.
Autant le dire tout suite, c’est tout sauf mon genre de film… Et pourtant, sans pour autant dire que j’ai adore, je me suis laisser porter par cet œuvre sans pour autant entrer dedans comme d’autre l’on fait. Alors certes, c’est un peu brouillon, parfois un peu long et on se demande souvent où la réalisatrice veut en venir.
La photographie, décors, accessoire et stylisme réussisse à nous plonger complétement dans les années 80 à un point que l’on à l’impression de voir un film datant de notre (ou de ma en tout cas) jeunesse, un film, un documentaire ressorti directement de l’INA.
Lea Seydoux interprete parfaitement le rôle de Prudence, cette adolescente en perdition morale et sociale, bien que les autres acteurs ne soit pas mauvaix non plus même si on les sent écrasé et discret à coté du rôle principal.
Bref, un film à voir pour les amateurs de film dramatique bizarre et désordonné.
Belle épine était précédé d’un court métrage nommé Native Son, dont la seul chose que j’ai retenu c’est cette atmosphère malsaine (et nécrophile) qui s’en dégage.
date de sortie de Belle épine : 24 / 11 / 2010